Que voulez-vous Je suis je reste sans voix.
Que voulez-vous Je suis je reste sans voix. Que voulez-vous ce tumulte régressif, cette pulsion destructrice du pouvoir, cet ultra libéralisme couplé à une violence légitimée pire que rarement. Une avalanche de réel. Se cogner/ être cogné-e chaque jour à une nouvelle annonce, mesure, idée, et toute « sécrétion » issue de cette équipe au pouvoir, son arrogance, son déni, son inculture son… (oserai-je?) imposture. Rien ne vient faire signe d’un progrès social humain culturel écologique.
Que voulez-vous, ça (me) fait comme devant un-e quelqu’un-e qui vient me parler et qui sait déjà tout, et que l’on ne peut entamer de rien, nulle part, puisque tout est déjà là / VRAI….déjà VRAI. Incontestable. Inentamable. Sans division… puisque « je » suis celui qui sais. Sans partage. Malgré l’illusion de l’échange.
Tout doit rendre à quelques-uns, coûter à d’autres, tout peut se vendre, se compter, s’évaluer, se chiffrer.
Pas une parole n’est garante d’une fides possible. Une vie humaine n’est pas égale à une autre vie humaine. La République souffre de trop de maux, de violence, d’injustice. Ce mauvais grain semé, pourrons-nous l’arracher un jour ?
Bel été à vous toutes-tous (si j’ose ). Ce sera dans le chaud du cercle familial, les amis, les camarades, parfois quelques voisins, mais rien ne vient à cette heure faire lien du Nous de la Nation pour un progrès authentique celui-ci.
A suivre..